MÉDIA-TARN accompagne ses publics dans la lecture critique de l’image à travers un projet d’éducation au cinéma en tant qu’art intégrant une articulation avec une éducation aux médias et aux nouveaux usages médiatiques.

Cette dernière se traduit par un accompagnement de la jeunesse, en lien avec les médias professionnels, nationaux ou de proximité, dans le bon usage des médias et le décryptage de l’information diffusée massivement sur internet et les réseaux sociaux, compétences indispensables à l’exercice d’une citoyenneté éclairée.

La résidence journalistique FLUX se décline chaque année en 3 modes de présence journalistique au sein de plusieurs établissements scolaires du 2nd degré et écoles primaires du département du Tarn et concerne 3 binômes de professionnels :

  • journaliste / dessinateur
  • journaliste / réalisateur
  • journaliste / photographe

 

L’axe thématique général de la résidence, « FAIRE SOCIÉTÉ », irrigue le fond et la forme de l’action.

 

FLUX bénéficie du soutien de la DRAC Occitanie et du Conseil départemental du Tarn.

Type d’établissement

Collège

Primaire

Lycée

Type d’articles

Dessin

Écrit

Vidéo

Audio

Photo

Genres journalistiques

Information commentée

éditorial, billet, critique, …

Information rapportée

micro-trottoir, portrait, interview, …

Information expliquée

analyse, enquête, …

Méthodologie & grands principes

Mémo

Type d’auteurs

Éleve

Professeur

Professionnel

Mixte

Circuit d’Albi, un son d’enfer

Les riverains se plaignent du bruit produit par le circuit d’Albi.

Le son est la principale source de conflit entre les riverains du Séquestre et DS Events, la société en charge du circuit d’Albi. Depuis la réouverture du circuit en 2015 (suite à sa faillite et à sa fermeture en 2014), il produit des pollutions sonores dont les riverains se plaignent. En 1961, le circuit, partageant son terrain avec l’aérodrome d’Albi, est inauguré en pleine campagne. Un contrat stipulant que le circuit avait le droit d’être bruyant 12 jours par an a été rédigé entre les tout premiers riverains commençant à s’installer dans la zone du Séquestre et la mairie d’Albi qui s’occupait du circuit. Mais les termes de ce contrat ont produit un déficit pour la structure, entraînant la faillite des gestionnaires. En 2015, la mairie effectue une délégation de service public à une entreprise privée, créée spécialement pour l’occasion, DS Events. Du fait du changement de propriétaire, les contrats rédigés n’étaient plus en vigueur et le circuit a reçu une homologation permettant de tourner durant 343 jours par an, donc plus de 200 jours bruyants ! Les riverains ont alors fondé une association en 2014, ARAS, dont le président, que nous avons interviewé, est Michel Ricard.


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Circuit d’Albi, un son d’enfer

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