Aujourd’hui les lois françaises reconnaissent toutes les formes de violence, physiques, psychologiques (harcèlement, insultes, dévalorisation, intimidation, …), économiques mais aussi. Ces violences qui sont parfois plus douloureuses encore que les coups physiques. On ne peut plus parler de femmes battues mais femmes victimes de violence.
Betty Fournier, co-fondatrice de l’association Paroles de Femmes qui accueille à peu près 300 femmes par an et les suit tout au long de leur parcours de reconstruction, apporte des éclairages sur la question.
par Anna, Dounya, Najoua et Pauline