Le choix du sujet traité lors de cette résidence est un choix qu’aujourd’hui encore je trouve assez malin, même s’il a donné lieu à quelques discussions au niveau de notre duo journaliste / réalisateur. Ce sujet est, dans les apparences, extrêmement banal. Et de fait. Qu’elle soit affirmée de manière péremptoire ou qu’on la tourne en dérision, il est rare que cette phrase de “c’était mieux avant” ne soit pas prononcée au cours d’une discussion quel que soit le sujet de celle-ci : l’environnement ou la météo, le marché du travail, le goût des légumes ou des sucreries, la vie en société. La vie, en somme.
MÉDIA-TARN accompagne ses publics dans la lecture critique de l’image à travers un projet d’éducation au cinéma en tant qu’art intégrant une articulation avec une éducation aux médias et aux nouveaux usages médiatiques.
Cette dernière se traduit par un accompagnement de la jeunesse, en lien avec les médias professionnels, nationaux ou de proximité, dans le bon usage des médias et le décryptage de l’information diffusée massivement sur internet et les réseaux sociaux, compétences indispensables à l’exercice d’une citoyenneté éclairée.
La résidence journalistique FLUX se décline chaque année en 3 modes de présence journalistique au sein de plusieurs établissements scolaires du 2nd degré et écoles primaires du département du Tarn et concerne 3 binômes de professionnels :
- journaliste / dessinateur
- journaliste / réalisateur
- journaliste / photographe
L’axe thématique général de la résidence, « FAIRE SOCIÉTÉ », irrigue le fond et la forme de l’action.
FLUX bénéficie du soutien de la DRAC Occitanie et du Conseil départemental du Tarn.
Type d’établissement
Collège
Primaire
Lycée
Type d’articles
Dessin
Écrit
Vidéo
Audio
Photo
Genres journalistiques
Information commentée
éditorial, billet, critique, …
Information rapportée
micro-trottoir, portrait, interview, …
Information expliquée
analyse, enquête, …
Méthodologie & grands principes
Mémo
Type d’auteurs
Éleve
Professeur
Professionnel
Mixte
C’était mieux avant ?
En savoir plus
Dourgne un village de France
Nous avons vécu cette résidence pleinement. Nous étions arrivés en “étrangers” et, au gré des turpitudes, avons vue notre vision de Dourgne évoluer, une hypothèse d’un jour balayant celle de la veille. La conclusion de la dernière interview à voir été
réalisée dans le village, celle des frères restaurateurs de la Montagne Noire pourrait être celle du film.
Eloïse Lebourg : “Dourgne, c’est un peu un village comme un autre à vous entendre ?”
Restaurateur dourgnol : “Oui, c’est ça. Dourgne, c’est un village français comme les autres.”
A propos de "C'était mieux avant ?"
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