MÉDIA-TARN accompagne ses publics dans la lecture critique de l’image à travers un projet d’éducation au cinéma en tant qu’art intégrant une articulation avec une éducation aux médias et aux nouveaux usages médiatiques.

Cette dernière se traduit par un accompagnement de la jeunesse, en lien avec les médias professionnels, nationaux ou de proximité, dans le bon usage des médias et le décryptage de l’information diffusée massivement sur internet et les réseaux sociaux, compétences indispensables à l’exercice d’une citoyenneté éclairée.

La résidence journalistique FLUX se décline chaque année en 3 modes de présence journalistique au sein de plusieurs établissements scolaires du 2nd degré et écoles primaires du département du Tarn et concerne 3 binômes de professionnels :

  • journaliste / dessinateur
  • journaliste / réalisateur
  • journaliste / photographe

 

L’axe thématique général de la résidence, « FAIRE SOCIÉTÉ », irrigue le fond et la forme de l’action.

 

FLUX bénéficie du soutien de la DRAC Occitanie et du Conseil départemental du Tarn.

Type d’établissement

Collège

Primaire

Lycée

Type d’articles

Dessin

Écrit

Vidéo

Audio

Photo

Genres journalistiques

Information commentée

éditorial, billet, critique, …

Information rapportée

micro-trottoir, portrait, interview, …

Information expliquée

analyse, enquête, …

Méthodologie & grands principes

Mémo

Type d’auteurs

Éleve

Professeur

Professionnel

Mixte

Les transports albigeois en route vers … le développement durable

Dans l’albigeois, pour se déplacer lorsqu’on habite à Sainte Croix ou à Carlus, on est obligé de prendre la voiture, ce qui augmente notre émission de CO2 et renforce les embouteillages. On participe donc au réchauffement climatique. Pour cela les acteurs concernés, la LIO (Ligne Intermodale d’Occitanie), la SAFRA et la mairie d’Albi tentent de trouver des solutions au niveau national et au niveau local.

Hydrogène
Électrique
Diesel
Que faut-il choisir ?

L’empreinte carbone sur l’environnement des bus électriques est de 20g/km de CO2 par passager contre 100g/km pour les bus diesel et zéro pour le bus à hydrogène.
Les bus électriques ont beaucoup d’avantages : ils sont beaucoup plus silencieux ce qui permet de réduire la pollution sonore urbaine. Il y a aussi moins d’émission de CO2 qu’un bus diesel.
Mais il y a quelques inconvénients :le bus électrique a une moins bonne autonomie qu’un bus diesel (120-200 km par recharge complète contre 300 km pour les bus diesel). La recharge de ces bus est longue et pour les recharger, il faut installer des bornes électriques, ce qui présente un coût supplémentaire élevé.
Le bus à hydrogène lui, a une plus grande autonomie que le bus électrique, 300km tout comme le bus thermique. Sa recharge est aussi plus rapide : elle équivaut presque à la recharge d’un bus thermique (5 min). Ce bus est particulièrement silencieux.
Il faut toutefois installer une station à hydrogène au dépôt pour recharger le bus, ce qui engendre des coûts supplémentaires.
Actuellement les bus thermiques sont plus accessibles financièrement mais polluent de façon exponentielle ; c’est pour cela que les bus électriques et à hydrogène ont été créés.
Cependant, du fait que ce soit des technologies nouvelles, le prix élevé des matériaux utilisés pour les construire ainsi que pour les recharger demeure un frein pour les collectivités.
En raison des inconvénients abordés ci-dessus, les groupes de bus prennent du temps pour passer à une utilisation intégrale de ces bus.

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Les transports albigeois en route vers ... le développement durable

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